vendredi 16 octobre 2009

Le Théâtre « Rosa Parks » de Dieudonné – redécouverte du théâtre premier, hymne à l’espèce


Le Théâtre « Rosa Parks » de Dieudonné est né dans un conflit intense.

« Rosa Parks » c'est le nom de cette jeune femme noire qui refusa de céder sa place à un passager blanc dans un bus.

« Dieudonné » c'est le nom d'un Maître Bouffon francophone qui exprime les conflits de son époque à travers des personnages : il lui est vivement recommandé de bouffonner au-dessous de son époque... par des personnages bien réels !

Le Maître Bouffon ne tremble pas, il n'a pas à tomber au-dessous de lui-même.

Traditionnellement ils sont toujours nombreux ceux qui ne tremblent pas et refusent de tomber au-dessous d'eux-mêmes quand le problème de la liberté est une fois de plus à l'ordre du jour.

Nul ne peut se dérober à cette réalité typiquement humaine de l'âme : la liberté pratique n'y est pas cette liberté dont le sens appartient en soi au domaine de la transcendance ; c'est l'unique valeur qu'aucune puissance au monde ne saurait dérober à nos tréfonds.

Ceux qui se condamnent eux-mêmes en s'acharnant sur Dieudonné se condamnent aussi à une continuité traditionnelle de la culture, la condamnant à devenir habitude, paresse, la condamnant à devenir commode et sans pensées pour

- un arrêt donc un recul de la culture,
- pour une infantilisation de la société donc sans action sur la vie,
- donc pour un recul de la vie.

Ceux qui injectent la vie ne sont pas {les illusionnistes offrant les illusions} d'ismes ou d'Etats, ce sont les Rosa Parks et les bouffons ... tels qu'ils existent depuis le début.

Le Théâtre « Rosa Parks » de Dieudonné

La nuit tombe sur la gare qui s'illumine, le car bien garé en plein centre ville s'ouvre à son public.

Douze rangées de cinq : soixante personnes sont confortablement installées dans de larges fauteuils de car de transport, soixante personnes entourées d'une lourde feutrine noire, regardant un rideau rouge orné de deux marguerites, musique « easy listening », soixante personnes sont coupées du monde... au coin d'un feu.

La représentation est annoncée, la lumière baisse progressivement, apparait l'artiste.

L'automatiquement nazi Mbala Mbala explique pourquoi cet autocar, explique pourquoi il n'y aura pas de jeu de jambes : on ne voit en effet l'artiste qu'en buste, un buste devant lequel sera allumé un feu pour voir son visage s'entretenir avec vous, la nuit.

Voir les mots accompagnés des gestes correspondants : c'est la redécouverte totale du théâtre premier, celui autour du feu de la tribu première.

Outre que ce que j'ai vu ce soir là en tant que réalisation artistique n'est vraisemblablement pas possible pour n'importe quel artiste c'est une réalisation qui ouvre une porte sur un extrêmement précieux : annulation de l'espace, annulation du temps, plus qu'un spectacle, c'est une expérience pour le spectateur.

Pendant une heure chacun vit dans l'intimité de son psychisme l'expérience de notre espèce : le théâtre tel qu'il exista depuis le début.


C'est le théâtre de notre espèce, dont chaque individu est membre, théâtre dans lequel les imbéciles ne comprennent pas ce qui les compose eux-mêmes et font depuis toujours « l'opinion publique » avec leurs désirs payés par nous en catastrophes calamiteuses, alors que - je suis désolé - mais notre espèce est faite pour l'amour, pas pour les imbéciles.

Depuis le début... cela se voit très bien dans l'absolu unité autour du feu.

Le Théâtre « Rosa Parks » de Dieudonné ?

Une redécouverte du théâtre premier, un hymne à l'espèce, une expérience... qui, pour tous, ne peut se vivre qu'individuellement et c'est d'ailleurs bien ainsi qu'il faut traiter chaque individu : comme tel.



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dimanche 27 septembre 2009

Dieudonné contre les barbares dans SANDRINE


Il est incroyable que dans un monde si riche en Dieux et en racines la femme soit encore bien souvent aujourd'hui « une ombre en dessous de l'homme », obligée par lui à vivre dans un semi-enfer de sottises et de méchancetés, de misères et de violences qui parfois deviennent crimes.

Lorsque j'ai appris que le thème de Sandrine, dernier spectacle de Dieudonné, était les violences conjugales quelque chose en moi s'est inquiété : la condition homme femme - bien plus que tout autre sujet - peut provoquer d'irréparables scissions…

Sandrine c'est le grand retour du couple du divorce de Patrick, dont l'histoire si bien commencé - avec son cortège de projections victorieuses et de joies sensuelles partagées - s'était terminé par la mort du bonheur des sentiments devenus astreintes et contraintes insupportables.

Après la séparation Patrick Boulard passe en jugement pour violences envers Sandrine Boulard.

Nous voici dans un tribunal où les dialogues entre les personnages se déroulent dans un champ de force obscure, un tribunal où les personnages évoquent (le plus souvent en inconscients !) toutes sortes d'impasses rencontrées, un tribunal où les personnages sont autant d'expressions de puissances supérieures avec lesquelles il faut s'expliquer.

Mais le théâtre, c'est le théâtre, Dieudonné fait éprouver au prévenu Patrick Boulard le devoir sacré de se libérer lui-même, de préserver ses droits à son individualité … et ne nous laisse que l'envie de le voir enfermé !

L'introduction à Sandrine sur fond de « toute la pluie tombe sur moi » avec un Dieudonné plaidant qu'il est à la recherche d'un emploi puisqu'il n'a plus de points sur son permis de faire rire, était déjà - puisque Dieudonné parle de son métier - l'introduction à une psychologie des comportements et à ces « drames » que vivent les tricheurs…

Le tribunal avec sa galerie de magistrats angoissants, les membres non moins angoissants du Mouvement contre l'Impérialisme Féminin, le vécu de Patrick et Sandrine autant d'éléments dont l'artiste se sert pour nous rappeler que « ce n'est pas l'homme qui va au théâtre, c'est l'homme qui est le théâtre des choses. »…

Pour finir Patrick pousse la chansonnette du fond de sa prison laissant place à un Dieudonné sur scène : la scène, cet espace infini, son espace de liberté, liberté dont nous ne devons pas oublier qu'elle est aussi notre possibilité.

Avec la voix de Med Hondo, l'unique doubleur noir en langue française de toute une génération, Dieudonné se lance dans l'éducation de son gamin de 15 ans sur le sujet des relations entre deux êtres, sans cachotteries mais sans priver quiconque du bénéfice de la pudeur.

Dieudonné prend l'accent toulousain, vous connaissez la suite, vous ne l'entendrez pas chez Drucker.

Rien à voir avec l'humour pesé des amuseurs autorisés, aux rites primitifs, qui participent à l'écartement entre progrès technique et progrès psychologiques et moraux : Dieudonné a sa vie propre … et ne nous laisse que l'envie de le voir libéré !

mercredi 24 juin 2009

Contre la pensée contemporaine, la parole ancienne ?


Il n'y a plus un sou vaillant dans les caisses des services d'aide sociale et nous n'en sommes qu'à la moitié de l'année. Le bénévolat prévient qu'il ne pourra faire face seul. Les pôles emploi n'ont pas les moyens de leurs actions. Les pauvres errent dans les rues. La France comme toute l'Europe ferme les yeux devant les hécatombes de migrants qui périssent en Méditerranée (200 officiellement en mars 2009 par exemple). Non content de piller les ressources de l'Afrique, le pillage des cerveaux du sud est en œuvre.

Voilà parmi quelques autres, des faits simplement objectifs, inexcusables : des forces agressives venues de tous côtés se livrent à notre destruction.

L'homme d'aujourd'hui prétend pourtant avoir bien conscience de tout ceci.

Mais l’homme préfère parler de la responsabilité d'un autre cela : c'est la faute aux réseaux pro israélien, c'est la faute aux immigrés, c'est la faute aux femmes qui devraient rester à la maison...

Il y a donc dans notre temps un énorme problème d'exclusivité des points de vue : chacun est convaincu que son point de vue est la bonne voie.

Pendant ce temps là le miséreux (parfois le voisin, le frère...) se trouve dans une profonde détresse et n'est pas spécialement remis en selle par les « poètes » qui ont le courage de dénoncer « leurs » responsables du haut de leur « hauteur morale ».

Le voisin, le frère est hélas devenu sans intérêt dans la sphère de certains « humanistes » : l'exclusivité de leur point de vue se détourne du tout ceci .

Et pourtant, qui porte la vie ? Le voisin, le frère, chaque individu – poète ou pas - dans toute la relativité de ses points de vue.


- L'exclusivité des points de vue, les conflits ?

Comme par hasard, rien ne peut les empêcher...

- Aider son voisin ou son frère peut, par contre, être réalisé sans désordre.

Tout peut l'empêcher, comme par hasard…

Il avait été demandé à sœur Emmanuelle quel était selon elle le problème de notre temps et elle avait répondu « c'est moi, c’est toi... ».
On le voit, on le sait, l'opposition est dans chaque homme... mais il a décidé de s'ignorer lui même.

Il a certainement été une autre époque, autrefois, où il existait de bonnes voies, celles qui ont participées à l'évolution de l'espèce, de bonnes voies à proposer contre la pensée contemporaine : la parole ancienne.

Plus personne ne l'écoute mais les vérités qui la fonde sont toujours vraies, du sud au nord, de l'est à l'ouest.



mercredi 17 juin 2009

A religion marketing sublime (inale), église médiatique infernale.


« Je t'ai mis au creuset, mais non pour retirer de l'argent. Je t'ai éprouvé dans la fournaise de l'adversité. C'est pour l'amour de moi, pour l'amour de moi que je veux agir. » Isaïe, 48 10-11.

On pourrait croire que je ne m'adresse ici en citant la Bible qu'à ceux qui dorment en toute tranquillité dans leurs églises ou en cirent les bancs avec leurs culs, ou même, aux croyants des deux autres religions monothéistes.

Pas nécessairement.

Regardez le monde en cette époque infernale ... l'être humain, manipulé, s'abandonne à des pouvoirs ou des contre-pouvoirs qui tombent d'une chaire moderne : le téléviseur.

Comment ne pas les prendre en considération puisqu'ils viennent de si haut ? Chacun s'y abandonne sans jamais se rendre compte que tout vient d'en haut. Lorsque tout est imposé d'en haut d'une chaire, on ne peut en placer une, il faut se taire et écouter, interrompre les sermons des uns ou des autres est un sacrilège. Ce qui est dit d'en haut d'une chaire est la vérité absolue.

La grand messe médiatique fait qu'aujourd'hui le combat politique ne consiste plus, au fond, qu'à être d'accord avec un grand dogme : l'idéal de possession, l'idéal de consommation, en cherchant à savoir qui vous l'accordera le mieux.

Dans cette démarche il n'est à aucun moment question d'examiner ce qui nous plonge dans le trouble, de se questionner en profondeur sur le fond et donc, de trouver des réponses profondes aux problèmes de cette époque infernale.

Il est vrai qu'il faut compter avec la résistance des clergés politico-marchands et leur autorité pontificale. Il ne faut s'attendre de leur part à aucune bonne foi.

Nous ne sommes - pour le moment - qu'un petit nombre d'êtres qui pensent, ne font pas seulement partie d'une Eglise, mais de l'Humanité. Il n'est pas de l'intérêt de ces églises que l'humanité atteigne un quelconque équilibre et que les deux plateaux nord-sud portent le même poids.

Les injustes critiques faites à Dieudonné montrent clairement le deux poids, deux mesures de tout un système.

Système ? Marketing, publicité : immense pouvoir de faire de l'homme un égocentrique sans jamais éveiller le désir d'être - et d'être généreusement - car le sujet n'est que « moi », moi », encore « moi »... refuser de posséder plus, de consommer plus, étant devenu hérésie culturelle : ceux qui refusent s'exposent aux flammes éternelles de l'autre.

Certains pensent que la délivrance viendra par la fin de l'ennemi unique, "le sionisme", véritablement pour eux manifestation luciférienne. J'estime pour ma part qu'ils ne se font guère violence et n'arriveront jamais à faire croire à personne que leur état de profonde agitation n'est pas un autre enfer de souffrance. En tout cas pas à moi et pas aux OGRES Politiques.

Malheureusement nous essayons d'être sincère cela n'est ni facile ni narcotique. Nous nous permettons d'être indépendants d'autant que les gens sont bien libres de faire ce qu'ils veulent sans avoir à nous demander notre avis.

Mais par Osiris que certains se demandent qui a mis le serpent au paradis !
Quand certains affirment de façon plus ou moins subtile que ce sont « les sionistes » qui ont mis le serpent au paradis, il est clair qu'ils n'emploient pas leurs forces pour la liberté mais pour la guerre : car c'est bien Dieu qui a mis le serpent au paradis...

Ils sont dans le conventionnel, ils sont dans la convention et seuls ceux qui pensent dans la liberté peuvent dire des choses qui s'écartent de toute convention.

Je comprends parfaitement que certains vont exploser en me rappelant les martyrs de Gaza et il est fort sage de le faire. Mais ils sont dans un état de guerre qui m'est extérieur : il est certain qu'il faut, pour affirmer sa nature pacifique, être combatif...

Il est difficile dans ce système d'échapper aux conflits.

« Je t'ai mis au creuset, mais non pour retirer de l'argent. Je t'ai éprouvé dans la fournaise de l'adversité. C'est pour l'amour de moi, pour l'amour de moi que je veux agir. »
C'est par la Bible que j'ai commencé cet article : il est en effet difficile d'échapper aux conflits, aux conflits de l'âme... et ce qui est dit là, dans la Bible, est dit par le juge au-dessus de nous, qui n'a pas de juge au-dessus de Lui et unifie ses opposés dans l'homme.

On peut s'en plaindre, mais cela n'a pas de sens ... les chose sont comme elles sont : pourquoi se plaindre d'être humain ?!

Il suffit d'être complet en tant qu'individu, plus complet que ce collectif, c'est à dire, ne plus être un consommateur qui retire de l'argent pour se jeter dans la fournaise de la consommation de gadgets plus chers et plus beaux que celui du voisin pour le dominer ; il suffit de ne plus consommer de prêt à penser professé par des tourmentés aussi étonnants que la dernière poudre à laver plus blanc ; il suffit en somme d'un peu plus d'amour actif pour offrir une paix qui ne sera pas de ce monde tant que chacun pensera pouvoir guérir "les spleen de l'autre" par son mauvais caractère, son caractère mauvais.

mardi 19 mai 2009

De l’anti-communautarisme à la COMMUNAUTE RELATIVE REPUBLICAINE, de la notion de prospérité spirituelle, de la nullité de l’extrême gauche

Ce qui est extravagant c'est que ces bonnes gens dits « d'extrême gauche » qui chantent l'internationale - en levant le poing - ne soutiennent pas l'universaliste Dieudonné.

Dieudonné est même dénoncé par « l'extrême gauche » institutionnelle comme antisémite.

Au profit du lobby néo-sioniste, certes... mais est-ce que tout est dit ?

Non, en agissant ainsi cette « extrême gauche » se coupe clairement de toute association internationale possible.

Pire qu'une erreur, c'est une faute !

On ne peut que déduire que l'universaliste Dieudonné est seul rassembleur du peuple de gauche, de gauche indépendante, c'est à dire non guidée de l'étranger.

Que font les Laguiller-Besancenot et consorts depuis des décennies sinon empêcher les effets d'une quelconque internationale où de se limiter à s'interdire par religiosité la moindre chance de triomphe de leurs idées ?

Ces gens sont surtout occupés à manier l'amour et la crainte comme des religieux : le communisme est donc une foi et même une religion au sens où le communisme a besoin de héros mythiques, besoin qui d'ailleurs ne date pas d'hier et remonte jusqu'au quatrième millénaire pré chrétien avec Osiris.

Que nous a montré l'expérience communiste ?

Un chef « social » légitimant l'oppression plus ou moins complète de l'individu au profit de la collectivité.

Que fait Dieudonné ?

Il cherche d'abord l'amélioration dans l'individu - c'est ma conviction - et pour cela réunit autour de lui tout un monde « de droite à gauche » - influences collectives qui n'ont plus de sens dans notre pays - donc disons, réunit tout autour de lui des gens cherchant l'équilibre du monde.

L'humanité, les nations n'en sont qu'à leurs début : il y a donc bel et bien des gens « d'extrême droite » sur la liste de l'universaliste Dieudonné, liste majoritairement de gauche et déclarée sous le nom de Gauche Indépendante.

Il y a aussi des gens issus de l'extrême droite et alors ?

Encore une fois, Dieudonné réunit tout un monde autour de lui, tout un monde autonome. Ce monde autonome a pour impératif moral - c'est encore ma conviction - de se réunir en cherchant un équilibre républicain selon le concept de COMMUNAUTE RELATIVE :

une communauté authentique ne peut être formée que par des individus autonomes, elle doit donc être une communauté relative, sous la houlette républicaine. Si elle n'est pas relative, elle submerge l'individu et est un totalitarisme.

La vie sur cette terre est faîte autant de joies que de souffrances, nous pensons tous à la prospérité générale. Si nous pensons extrême gauche nous devons penser URSS et si nous pensons extrême droite nous devons penser Allemagne nazie : peu de progrès social, beaucoup de terreur politique.

Chez Les OGRES Politiques, l'individu est au centre de tout comme l’humanité devrait être au centre de chaque homme, le seul progrès, le premier progrès qui concerne chacun d'entre nous, est de s'adapter les uns les autres à nos individualités, de les relativiser.

Ce n'est pas une souffrance : la véritable souffrance viendrait de laisser se mettre en place davantage un système déclarant lutter contre la misère pour que nous vivions des malheurs qui n'étaient pas envisagés au départ par les « révolutionnaires » de 1789... la forme traditionnelle de la misère d'alors si elle a jamais été endiguée, a laissé libre cours à des variantes que nul ne pouvait soupçonner à l'avance : des divorces aux névroses... à 40 % d'hospitalisation en Hôpital Psychiatrique dues au bruit !

La misère a-t-elle jamais été endiguée ?

Aucun gouvernement ne se soucie de nos 7 millions de pauvres qui vont passer à 9 millions en fin d'année.

Aucun gouvernement ne se soucie non plus que la France - 1er pays consommateur d'antidépresseurs - soit victime de misère spirituelle et de pensée contemporaine .

Nous savons donc qu'il existe la notion de prospérité générale mais qu'il existe aussi une notion de prospérité spirituelle.

On ne peut qu'être insatisfait ou inquiet de la situation de notre civilisation, attaquée de l'intérieur, comme de l'extérieur, tel l'empire romain par les asiates et les turcs, n'ayant pas vu venir et pas su quoi faire contre la troisième vague qui lui fut fatale : la corruption des élites de l'empire.

Dieudonné, avec sa liste et de par sa composition même, œuvre sur la recherche de la prospérité générale mais est aussi le premier à évoquer ce qui nous est fatal : la stagnation spirituelle, la pensée contemporaine et à mettre en avant en l'incluant comme remède la prospérité spirituelle.

Notre sauvegarde passe par notre soutien à Dieudonné : ceux qui s'y opposent ne sont que des partisans de la régression.

Peut-on imaginer un prophète ou un sauveur authentiques en nos temps de télévision et de télé-reportages ? Il serait mort en quelques semaines n'est-ce-pas ?

Trois citoyens inscrits sur ces listes ont reçus des menaces de mort.

C'est la réponse de ceux qui ont placé leurs espoirs dans une absence de réponse à tous les problèmes... et qui « savent reconnaître » la « vérité antisémite » dans la quenelle anti-sioniste enfoncée dans le bas du dos (à l'intérieur même de la personne...) de dieux coléreux ayant des volontés qui ne sont définitivement pas celles de l'humanité.

Notre sauvegarde passe par notre soutien à cette liste oui, mais aussi passe par le soutien A CHACUN de ses représentants.

Ce sera en tout cas la démarche individuelle de chaque OGRES UPC, contre le communautarisme, pour une Communauté Relative Républicaine telle qu'elle vient d'être ici conceptualisée.

A moins de préférer le divorce ... de supporter de vivre dans un matérialisme névrotique, de supporter de vivre dans une véritable civilisation guerrière de consommation, de supporter de vivre dans le culte de la consommation de jouissances malsaines instaurés par les médias politico-marchands-menteurs qui ne visent qu'à l'arriération morale du plus grand nombre.


Rammstein - Buck dich - Live aus Berlin
envoyé par TottyLottie. - Clip, interview et concert.

dimanche 19 avril 2009

De la CONNAISSANCE DE SOI à l'AMOUR ... UNIVERSEL




Suite à ce message d'information de la petite équipe des OGRES UPC dans le Téléscript'OGRES,


INFO pour ceux qui ne savent pas ou nient l'origine africaine de nos comportements modernes

http://www.lefigaro.fr/sciences/2007/06/16/01008-20070616ARTFIG90773-des_parures_en_coquillages_de_ans_au_maroc.php

même sujet autre lien, plus complet

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=4162


Et pour achever les plus tenaces .... pensée symbolique et capacités cognitives

Merci de votre attention.

Un article de notre Chroniqueur.

Bonne lecture à tous !



Après consultation de ces liens sur la découverte en Afrique de parures vieilles de 82 000 ans, un article s'impose.

Tout d'abord, un symbole n'est pas un simple signe, c'est un travail sur l'objet, un travail technique, issu d'une volonté de domination des forces naturelles pour les transformer en « utilisable », c'est le signe de fonctions solidement organisées, le signe d'une activité culturelle, d'une pensée intellectuelle, le signe enfin de l'organisation première de la société humaine.
Quel crétin osera dire après cela que l'homme Africain n'est pas entré dans l'Histoire ? Il faut au moins un crétin élu pour cela…élu par des crétins, de ceux qui, depuis quelques siècles, répriment l'élaboration et la formation de symboles individuels sous couvert de confessionnalisme ou de traditionalisme (religion d'Etat etc) : des "ismes", encore...

L'humanité, depuis toujours, participe de cas d'espèce, des mêmes douleurs, d'une fausse impression d'isolement de l'individu : fausse impression car un problème humain est un problème général, il est le problème de tous, depuis toujours ; cette seule évocation fait vibrer quelque chose en chacun d'entre nous... le fond humain de toute situation individuelle n'est unique qu'en apparence, la souffrance de chacun est décidément la souffrance de tous, ne dit-on pas : « c'est la vie, nous en passons tous par là » ?

Nous le disons. Prenons-en conscience.

S'il est vrai que l'Europe est marquée par le Christianisme, elle l'est aussi par ce qui était avant ... tout cela n'est en définitive que de brefs instants dans l'histoire du monde, l'histoire de 150 000 à 200 000 ans de vie en tribus après 2 millions d'années d'évolution de l'Homme : ceci se manifeste de façon très visible...

Il n'est rien qui n'ait son histoire, le Christianisme empreinte beaucoup dans ses symboles {(Jésus sur la croix ? Totem. Mangez ceci est mon corps ? Distribution à la tribu de petits morceaux de l'animal totémique. Vierge Marie ? Mère nature qui doit rester vierge pour nourrir ses enfants. Etc)} à son passé païen qui semble obscur... Mais que souhaite l'homme d'aujourd'hui ? Connaître son passé, savoir ce qui s'agite en lui, regarder ce qui a été banni moralement car l'abîme est proche... l'homme d'aujourd'hui doit s'enquérir de ce monde d'avant pour être complet : il a besoin de connaître ses profondeurs, il a besoin de l'Afrique.

Et pas seulement parce qu'il est noir.

De l'ornement d'ocre rouge du coquillage à la garde de l'épée - rouge - la couleur du sang est la seule chose sérieuse, le sang le seul enjeu, le seul "pétrole" à respecter qui peut nous permettre d'enjamber l'abîme entre le contemporain et l'ancestral, entre l'homme et l'animal en lui. L'animal ne fait qu'accomplir fidèlement la volonté du Créateur, ce dont nous devrions nous mêmes être capables pour nous réaliser en totalité : il s'agit ni plus ni moins de nous aimer nous-mêmes, pour comprendre ce que nous sommes et comprendre qu'il importe que nous aimions ... autre chose que des colliers de coquillage, autre chose que des coupes d'or, autre chose que des artifices : nous-mêmes, soi, notre âme, notre conscience, comme une étoile dans le ciel, une île dans l'océan, soi, à travers qui, je viens de le dire, nous connaissons l'humanité toute entière, cet océan, ce ciel étoilé.



Jean Gabin JE SAIS
envoyé par marylin747

Dieudonné J'ai fait l'con : JE VEUX !


Certaines naïvetés concernant le mal ont fait leur temps.

La politique de l'autruche des médias face à la réalité du vécu de la population - politique qui n'affecte en rien le mal puisque se contentant de lui tourner le dos - est aussi méprisable que tous ces individus qui ont peur du mal en eux, de leur propre ombre : il est prudent de n'aller nulle part avec de tels couards !

Le fonctionnement orienté des médias exige une contre position : cette contre position, cette coupure radicale, cette volonté d'indépendance, c'est Dieudonné.

Contre les « analystes professionnels », professionnels d'eux mêmes, incapables d'apporter autre chose que des préjugés incompatibles avec l'idée même de vie civilisée, une bonne cure de franche rigolade, un traitement humain de qualité supérieure est nécessaire : il s'agit de rester en vie, de rire, de rire à en mourir.

La vis comica de Dieudonné est t-elle valide, est-elle correcte ?

Aux détracteurs de Dieudonné répondons qu'elle prouve sa validité par son existence, comme l'ornithorynque… la volonté du Créateur n'a pas à être vraie ou fausse : l'ornithorynque existe, le Créateur ne l'a pas exclu, et, dans la foulée, il nous a balancé la possibilité d'un Faurisson, sorte de dindon quant à lui, glouton, capable en faisant la roue de vous faire disparaître six millions de morts sans se croire dans l'erreur : phénomène relevant de la psychiatrie, ignorance ou mensonge délibéré, dont le patient s'étonne encore de l'insuccès ! C'est pourtant un fait établi : on trouve de tels délirants à toutes les époques… et pour ce qui est du délire les aventures de Dieudonné avec le monde médiatico-politique en sont un sacré, de délire ...

... Les médias et leur corporatisme d'Etat fasciste Mussolinien, l'Etat et ses gesticulations théâtrale héroïque en plein crépuscule des dieux bancaires, cette anarchie des affaires où règne la ruse et la violence, tous ces jean-foutres qui répandent la guerre en se jurant pacifiques après des massacres historiques, ce monde où l'on hurle qu'il faut s'armer et attaquer pour la paix : ces gens - rendez-vous en compte une fois pour toutes - sont des négationnistes qui nous amènent vers la mort en jouant les sauveurs.

Que le diable les emporte !

Le DVD serie limitée avec bonus "affaire faurisson" est disponible uniquement par correspondance pour 30 euros frais de port inclus par chèque à l'ordre de Bonnie productions, TMO (DVD) 15 passage de la Main d'Or 75011 PARIS

JE VEUX !

lundi 23 février 2009

Dieudonné, Roi des Bouffons contre la méfiance, le viol et la terreur.


Consommons en attendant la mort ...


Nous dépendons de la liberté d'expression, cela je l'ai déjà dit ici ...


... Liberté d'expression : de Job à Dieudonné http://tvdieudo.info/upc/article.php?id_article=175


Il n'est pas question - en cette matière comme dans bien d'autres - de se contenter des miettes du gâteau originel, cosmique, de la culture humaine, réservant le festin à quelques-uns, quelques-uns aux inspirations orientées, puériles, qui tendent des frontières issues des obsessions de leurs intimes personnes et n'acceptent que ne soient servies au public que de petites parts qui sont autant de flagorneries et d'autobiographies : cela est grotesque, cela est immoral.

L'expression dépend de l'inspiration, l'inspiration est une chose naturelle qui jouxte et complète les faits naturels fondamentaux.

Il est vrai que certains préfèrent le cloisonnement : mettre de la merde, dans une barquette, quelque part entre arrogance et dérogation pour la plèbe, il s'agit bien là d'une obscénité qui ne dissimule aucune sainteté, comme l'on voudrait nous le faire entendre.

Ce qu'est en train de devenir notre pays, notre art, sous la coupe de tels individus qui tarissent l'esprit ?! De la merde, de la merde en barquette.

Et c'est cette étroitesse de commande, cette étroitesse mentale que l'on voudrait nous faire passer pour caviar sur lit de sel ?! « Bon appétit Messieurs, Ministres intègres ! Conseillers vertueux ! Voilà votre façon de servir, serviteurs qui pillez la maison !…. »

Autant entasser de la dynamite, se moquer du suintement : tout le monde sait que cela va exploser, mais la règle est « chacun pour son compte » et si nul ne veut l'explosion, nul ne semble vouloir l'empêcher.

Dieudonné, humoriste militant, Roi des Bouffons et Bouffon des Rois, n'a cure des projections sur autrui, et, en ce bas monde où la manipulation politique domine toute activité, l'interdiction de ses bouffonneries a un but : empêcher la connaissance de soi pour éviter que la projection politique, la manipulation politique, apparaisse à la masse ; celle-ci pourrait prendre conscience que certaines valeurs culturelles ne sont ni naturelles ni intellectuelles, elle pourrait prendre conscience que l'abaissement du niveau mental par manœuvres diverses a certaines finalités : unilatéralisme, despotisme... tout ça pour finir dans le gouffre ! Risible...

Cette démarche qui consiste à convaincre la France entière que Dieudonné a tord non seulement est {une mauvais manière} mais aussi cela dissimule - où plutôt révèle beaucoup - sur quelques uns qui lui font des procès...

Car enfin, Dieudonné est un Bouffon majeur et, en cette période de Mardi Gras, sachons nous souvenir que ce jour est celui où le pauvre devient Roi et où les Rois sont des Bouffons. Et qui peut contester l'intérêt dans nos sociétés de prendre le temps de rire pour regarder les choses sous un tout autre angle ?

Ne l'oublions jamais, n'oublions jamais : « Là où s'arrête l'amour commence la méfiance, le viol et la terreur. »