Une rivière peut se perdre dans les bras d’un marécage et redécouvrir ensuite son lit ordinaire.
La rivière peut aussi se perdre définitivement dans les marais…
Une pierre posée sur une graine peut être soulevée par elle quand arrive la germination.
La pierre peut être trop lourde…
C’est ce que nous voyons arriver : n’importe quand, n’importe comment et à n’importe qui.
La perfection n’est pas en l’homme mais dans son intention d’élaborer des chefs d’œuvres, en suivant le lit du fleuve de la vie, en écartant les pierres qui l’empêche d’éclore.
L’intention, la volonté, est la matière première, mieux : une énergie.
Alors que « nous-mêmes » est la chose que nous percevons en premier, nous regardons le monde par l’extérieur.
Peut être l’individu devrait-il regarder le monde par l’intérieur.
Nous avons tous le même fond primordial : il n’y a donc pas « d’être humain idéal ».
Si l’homme regarde en lui-même, examine son être, rectifie son comportement, place son énergie ni n’importe quand, ni n’importe comment, le collectif en sera modifié – et il doit l’être - car nul n’est n’importe qui.
La rivière peut aussi se perdre définitivement dans les marais…
Une pierre posée sur une graine peut être soulevée par elle quand arrive la germination.
La pierre peut être trop lourde…
C’est ce que nous voyons arriver : n’importe quand, n’importe comment et à n’importe qui.
La perfection n’est pas en l’homme mais dans son intention d’élaborer des chefs d’œuvres, en suivant le lit du fleuve de la vie, en écartant les pierres qui l’empêche d’éclore.
L’intention, la volonté, est la matière première, mieux : une énergie.
Alors que « nous-mêmes » est la chose que nous percevons en premier, nous regardons le monde par l’extérieur.
Peut être l’individu devrait-il regarder le monde par l’intérieur.
Nous avons tous le même fond primordial : il n’y a donc pas « d’être humain idéal ».
Si l’homme regarde en lui-même, examine son être, rectifie son comportement, place son énergie ni n’importe quand, ni n’importe comment, le collectif en sera modifié – et il doit l’être - car nul n’est n’importe qui.