Dieux, Démons, Lois sont liés à la notion de religion.
Ce sont des puissances.
Notre propre puissance n’est pas mince : nous posons des actes, des faits, accumulons des expériences depuis la nuit des temps, depuis la sombre caverne, depuis la forêt...
Chacun de nos mouvements est bénéfique ou dangereux, ce sont des expériences, des facteurs, qu’il a bien fallu expliquer DANS NOTRE MONDE par l’utilisation (en tant que symboles) de ces Dieux, Démons, Lois.
Ce sont donc des puissances mais ce sont aussi des images.
Si les religions devaient se figer en dogmes, immuables, une image pour illustration serait celle d’un mur…
Par ailleurs l’humain se tourne vers la religion en cas d’urgence… que ce soit pour dire « Mon Dieu » ou « Nom de Dieu ».
Evidement ce n’est pas la même chose, mais c’est bien le même mot, et dans les deux cas il y a expression de la « nature » religieuse de l’homme, même involontairement, de façon exclamative.
Nos mouvements, bénéfiques ou dangereux, ces expériences, ces facteurs, ces faits, n’ont pas été inventés, ils ont été faits.
Nous le savons, l’évolution fut lente… à quel moment l’Humain a-t-il pris conscience qu’il agissait par choix ?
De l’objectivité des Dieux de l’ancienne Egypte à un Dieu qui s’occupe de chacun, quel fascinant parcours que celui de l’Homme…
… Mais si nous ne savons pas à quel moment l’humain a pris conscience de ses actes, nous pouvons nous demander à quel moment il prendra conscience de ce qu’il pense.
Ce sont des puissances.
Notre propre puissance n’est pas mince : nous posons des actes, des faits, accumulons des expériences depuis la nuit des temps, depuis la sombre caverne, depuis la forêt...
Chacun de nos mouvements est bénéfique ou dangereux, ce sont des expériences, des facteurs, qu’il a bien fallu expliquer DANS NOTRE MONDE par l’utilisation (en tant que symboles) de ces Dieux, Démons, Lois.
Ce sont donc des puissances mais ce sont aussi des images.
Si les religions devaient se figer en dogmes, immuables, une image pour illustration serait celle d’un mur…
Par ailleurs l’humain se tourne vers la religion en cas d’urgence… que ce soit pour dire « Mon Dieu » ou « Nom de Dieu ».
Evidement ce n’est pas la même chose, mais c’est bien le même mot, et dans les deux cas il y a expression de la « nature » religieuse de l’homme, même involontairement, de façon exclamative.
Nos mouvements, bénéfiques ou dangereux, ces expériences, ces facteurs, ces faits, n’ont pas été inventés, ils ont été faits.
Nous le savons, l’évolution fut lente… à quel moment l’Humain a-t-il pris conscience qu’il agissait par choix ?
De l’objectivité des Dieux de l’ancienne Egypte à un Dieu qui s’occupe de chacun, quel fascinant parcours que celui de l’Homme…
… Mais si nous ne savons pas à quel moment l’humain a pris conscience de ses actes, nous pouvons nous demander à quel moment il prendra conscience de ce qu’il pense.
* * * * *
Du sens de tout cela ? ... à méditer en vous-mêmes et pour vous mêmes :