Des millions d’années, des millions d’images, que nous avons choisies, entre amour, peur, réalité matérielle, voilà ce que nous sommes et une seule créature sur cette terre peut établir ce qui a un sens : l’homme. Sans cerveau, pas de sens. Mais le sens ne semble pas pouvoir être connu par des êtres de conscience, le monde physique et ses coïncidences, voir le Dieu créateur, étaient là en premier, et de cela nous découlons, de cela nous venons.
Après ces millions d’années, aux images l’homme d’aujourd’hui préfère les mots, les redoutables « ismes » dogmatiques, aux faits.
Il n’est pas besoin de pratiquer des années de yoga ou de réclusion dans un monastère pour comprendre que ces préférences nous éloignent de la totalité, de l’universel.
Pourtant, une passion vivante a « tenu » l’homme de par les siècles : une nostalgie spirituelle, l’expérience de millions d’années sans « conscience de soi » dans la totalité, dans l’universel.
A cause des « ismes » l’essentiel nous échappe, et nous en avons plus que jamais un réel besoin.
Il s’agit d’un besoin de vie intérieure, cette vie libre, qui n’est pas une maladie, n’a rien d’effrayante, n’est pas subjective, car le subjectif qu’il soit spontané ou délibéré étant arbitraire, n’est pas totalité.
Nous avons construits un monde, le monde occidental, un gigantesque édifice mental, malade, mais au fond duquel vit encore un espoir immense.
Cet espoir est de parvenir à la totalité par des images intellectuelles, pour être des hommes dignes de la situation originelle.
Malheureusement les images des maîtres en « ismes » sont des images d’êtres faibles, habités de bas instincts, loin du grand art de la vie avec les choses réelles.
L’art de la vie est un rêve, un rêve méprisé car exigeant : il demande de l’humilité, qui est a priori inaccessible à la masse occidentale, fière et dominatrice, affairé à l’agitation permanente de ses connaissances et pourtant, pourtant, Ô combien prête à en savoir infiniment plus !
Les mouvements humains, dans tous les domaines, apportent à l’occident d’autres valeurs, qu’il s’active à mettre au bûcher tant il est vrai que l’occidental se considère, depuis les grecs, lui, supérieurement intelligent ayant trouvé chez d’autres, de bonnes idées… comme lorsqu’il base sa médecine sur les expériences millénaires des tribus « primitives » qui ont, elles, au moins, une intelligence en adéquation avec leur environnement, ce qui n’est plus depuis longtemps notre cas, nous qui n’arrivons pas à rouler en voiture dans nos villes pourtant prévues et aménagées pour la circulation automobile…
Le système contemporain occidental, sa pensée, sont un marécage où l’on brame à qui mieux mieux comment les choses devraient être sans jamais avoir vu les choses comme elles sont…l’« amour » Judéo-chrétien pousse l'occidental s’il est croyant à se plaindre à Dieu, à s’en prendre à Dieu, à l’accuser… si cela est son « amour » les chiffres effrayants de femmes et enfants battus ont leur explication, douloureuse.
Les douleurs du monde vont en s’accentuant… et les images des uns et des autres entraînent le non droit à l’existence d’une route commune pour la grande famille humaine.
Le Tao, l’Islam, nous concernent pourtant bien !
Mais les « ismes » qui vont avec sont eux aussi servi par des humains qui ont des images conforment à leurs vues… arbitraires.
Les croyants n’ont en effet pas forcément l’humilité d’être certain que Dieu n’a pas la même opinion qu’eux… par ailleurs rien n’empêche les athées ou agnostiques de ne pas avoir la même opinion qu’un croyant ou un Dieu : c’est dire la puissance infinie, « divine » entre les mains de l’homme !
Une chose est certaine : il y a de l’espoir, les capacités de compréhension humaines ne sont pas figées pour l’éternité, et tout ceci n’est qu’utilisation de mots alors que …
… nous sommes des millions d’années, des millions d’images.
L’héroïsme des uns et des autres dans les « ismes » est une prison inférieure : celle du verbe, de la magie verbale de grands prêtres qui se croient capable d’y faire entrer Dieu, pour des croyances qui font d’eux des êtres beaucoup plus « bêtes » qu’ils ne le pensent…
Ayez foi en vos rêves de petits humains !
Après ces millions d’années, aux images l’homme d’aujourd’hui préfère les mots, les redoutables « ismes » dogmatiques, aux faits.
Il n’est pas besoin de pratiquer des années de yoga ou de réclusion dans un monastère pour comprendre que ces préférences nous éloignent de la totalité, de l’universel.
Pourtant, une passion vivante a « tenu » l’homme de par les siècles : une nostalgie spirituelle, l’expérience de millions d’années sans « conscience de soi » dans la totalité, dans l’universel.
A cause des « ismes » l’essentiel nous échappe, et nous en avons plus que jamais un réel besoin.
Il s’agit d’un besoin de vie intérieure, cette vie libre, qui n’est pas une maladie, n’a rien d’effrayante, n’est pas subjective, car le subjectif qu’il soit spontané ou délibéré étant arbitraire, n’est pas totalité.
Nous avons construits un monde, le monde occidental, un gigantesque édifice mental, malade, mais au fond duquel vit encore un espoir immense.
Cet espoir est de parvenir à la totalité par des images intellectuelles, pour être des hommes dignes de la situation originelle.
Malheureusement les images des maîtres en « ismes » sont des images d’êtres faibles, habités de bas instincts, loin du grand art de la vie avec les choses réelles.
L’art de la vie est un rêve, un rêve méprisé car exigeant : il demande de l’humilité, qui est a priori inaccessible à la masse occidentale, fière et dominatrice, affairé à l’agitation permanente de ses connaissances et pourtant, pourtant, Ô combien prête à en savoir infiniment plus !
Les mouvements humains, dans tous les domaines, apportent à l’occident d’autres valeurs, qu’il s’active à mettre au bûcher tant il est vrai que l’occidental se considère, depuis les grecs, lui, supérieurement intelligent ayant trouvé chez d’autres, de bonnes idées… comme lorsqu’il base sa médecine sur les expériences millénaires des tribus « primitives » qui ont, elles, au moins, une intelligence en adéquation avec leur environnement, ce qui n’est plus depuis longtemps notre cas, nous qui n’arrivons pas à rouler en voiture dans nos villes pourtant prévues et aménagées pour la circulation automobile…
Le système contemporain occidental, sa pensée, sont un marécage où l’on brame à qui mieux mieux comment les choses devraient être sans jamais avoir vu les choses comme elles sont…l’« amour » Judéo-chrétien pousse l'occidental s’il est croyant à se plaindre à Dieu, à s’en prendre à Dieu, à l’accuser… si cela est son « amour » les chiffres effrayants de femmes et enfants battus ont leur explication, douloureuse.
Les douleurs du monde vont en s’accentuant… et les images des uns et des autres entraînent le non droit à l’existence d’une route commune pour la grande famille humaine.
Le Tao, l’Islam, nous concernent pourtant bien !
Mais les « ismes » qui vont avec sont eux aussi servi par des humains qui ont des images conforment à leurs vues… arbitraires.
Les croyants n’ont en effet pas forcément l’humilité d’être certain que Dieu n’a pas la même opinion qu’eux… par ailleurs rien n’empêche les athées ou agnostiques de ne pas avoir la même opinion qu’un croyant ou un Dieu : c’est dire la puissance infinie, « divine » entre les mains de l’homme !
Une chose est certaine : il y a de l’espoir, les capacités de compréhension humaines ne sont pas figées pour l’éternité, et tout ceci n’est qu’utilisation de mots alors que …
… nous sommes des millions d’années, des millions d’images.
L’héroïsme des uns et des autres dans les « ismes » est une prison inférieure : celle du verbe, de la magie verbale de grands prêtres qui se croient capable d’y faire entrer Dieu, pour des croyances qui font d’eux des êtres beaucoup plus « bêtes » qu’ils ne le pensent…
Ayez foi en vos rêves de petits humains !