Ce ne sont pas les batteurs d’estrades politiques qui manquent pour en imposer publiquement quant aux droits de l’homme.
Pourtant c’est à la tête de peuples manipulés - ou prétendant à leurs orientations - dans un immense cirque militaro marchand, que ces « personnages » se présentent.
On ne peut guère parler au sujet de ces « personnages » et de leurs discours que d’assemblages tout justes bons à nous mener à la catastrophe.
Les programmes des politiciens ne sont que des machinations plausibles, des plans qui laissent à penser que leurs suggestions et leurs intentions ont de justes et bons desseins : des promesses et de séduisants espoirs font croire aux peuples qu’une averse de bienfaits fantastiques les attendent.
Mais nous voyons bien, en France par exemple, que la fin de la pauvreté et du chômage, choses promises parmi d’autres grands projets, ne sont que tromperies, prises au sérieux par le public le plus large, qui se trouve d’année en année toujours plus dépouillé et, c’est le plus inquiétant, tout ceci bien entendu sans la moindre scrupule de la part de nos politiciens humanistes mis les plus en lumière :
Bien loin des droits de l’homme, la fin semble justifier les moyens.
N’allons pas jusqu’à parler de pacte avec le diable, mais plus simplement de contrat avec le mal (cela pose d’ailleurs un autre problème : qu’en est-il du mal en chacun d’entre nous ?).
Les moyens néfastes mis en œuvres dans notre société moderne pour redonner sa place à l’humain sont des idéalismes, parfois un « giving a chance » et il est facile de constater que les peuples ne sont informés que de mensonges et de futilités à buts lucratifs.
Aux séductions que peuvent avoir certains discours se joignent aussi certaines attitudes hystériques, en parfaites contradictions avec l’idée de « bien ».
Un discours assoiffé d’infinies certitudes donne visiblement le droit de vivre par delà les scrupules : ce discours est donc un alibi pour maintenir en place tout ce qui peut empêcher une compréhension approfondie des choses, une plus juste approche de la dignité des êtres de chair et de sang que nous sommes.
L’ignorance qu’ont les individus formant les peuples, les apparences qui font face, la méconnaissance de soi malmenée par le marketing, les publicités et programmes télévisuels bruyants qui prônent le culte de l’ego, mais aussi les applications des volontés de centralisateurs d’Etat qui visent sans cesse à réformer (entre autres…) les programmes scolaires dans un monde ou les enfants ne peuvent à aucun moment accéder à la concentration nécessaire à leurs études (baladeurs, agitation multimédia…), voilà quelques éléments de noirceur, que l’ignorance ne peut absolument pas tirer au clair !
Faillite morale, hystérie, désir cultivé d’être admiré par la consommation en autant de braillements dont on se demandent quels droits de l’homme pourraient naître un jour, à part le droit laissé aux hommes de ramper comme des chiens, ce qui n’est pas que lâcheté, mais est surtout culture politique, saignée des peuples, conditionnement.
L’action de censure se surajoute à cet ensemble, et Internet permet de se rendre compte que la chasse aux cibistes puis aux radios libres que l’on a pu constater en son temps, est un phénomène d’actualité : les pouvoirs n’aiment pas que les gens se parlent, ce qui est un droit de l’homme à l’homme.
Il se trouvera toujours quelques monstrueux psychopathes pour maquiller avantageusement ou désavantageusement certaines réalités (de l’histoire), pour ménager les uns ou les autres, nier ou avantager les horreurs blessantes faites à toute l’humanité, au passé, au présent, au futur.
Droits de l’homme, souffrir et faire souffrir, politiciens, comment découvrir la vérité dans les abîmes, au milieu de manipulations de gens qui pensent devenir meilleurs en étant toujours plus cruels mais aussi toujours plus possédés par la modernité ?
A se demander si les hordes de dieux et de démons primitifs qui habitaient toutes choses extérieures aux premiers hommes, ne sont pas descendus jusqu’à nous, nous, qui sommes animés par le progrès, la possession de biens de consommation pour mettre en valeur l’Ego, les Droits de l’Ego, pas les Droits de l’Homme.
Ce texte est publié dans le cadre du Centre de Recherche Les OGRES et est pour cette raison également disponible sur Les OGRES Afrique et Les OGRES Politiques
Pourtant c’est à la tête de peuples manipulés - ou prétendant à leurs orientations - dans un immense cirque militaro marchand, que ces « personnages » se présentent.
On ne peut guère parler au sujet de ces « personnages » et de leurs discours que d’assemblages tout justes bons à nous mener à la catastrophe.
Les programmes des politiciens ne sont que des machinations plausibles, des plans qui laissent à penser que leurs suggestions et leurs intentions ont de justes et bons desseins : des promesses et de séduisants espoirs font croire aux peuples qu’une averse de bienfaits fantastiques les attendent.
Mais nous voyons bien, en France par exemple, que la fin de la pauvreté et du chômage, choses promises parmi d’autres grands projets, ne sont que tromperies, prises au sérieux par le public le plus large, qui se trouve d’année en année toujours plus dépouillé et, c’est le plus inquiétant, tout ceci bien entendu sans la moindre scrupule de la part de nos politiciens humanistes mis les plus en lumière :
Bien loin des droits de l’homme, la fin semble justifier les moyens.
N’allons pas jusqu’à parler de pacte avec le diable, mais plus simplement de contrat avec le mal (cela pose d’ailleurs un autre problème : qu’en est-il du mal en chacun d’entre nous ?).
Les moyens néfastes mis en œuvres dans notre société moderne pour redonner sa place à l’humain sont des idéalismes, parfois un « giving a chance » et il est facile de constater que les peuples ne sont informés que de mensonges et de futilités à buts lucratifs.
Aux séductions que peuvent avoir certains discours se joignent aussi certaines attitudes hystériques, en parfaites contradictions avec l’idée de « bien ».
Un discours assoiffé d’infinies certitudes donne visiblement le droit de vivre par delà les scrupules : ce discours est donc un alibi pour maintenir en place tout ce qui peut empêcher une compréhension approfondie des choses, une plus juste approche de la dignité des êtres de chair et de sang que nous sommes.
L’ignorance qu’ont les individus formant les peuples, les apparences qui font face, la méconnaissance de soi malmenée par le marketing, les publicités et programmes télévisuels bruyants qui prônent le culte de l’ego, mais aussi les applications des volontés de centralisateurs d’Etat qui visent sans cesse à réformer (entre autres…) les programmes scolaires dans un monde ou les enfants ne peuvent à aucun moment accéder à la concentration nécessaire à leurs études (baladeurs, agitation multimédia…), voilà quelques éléments de noirceur, que l’ignorance ne peut absolument pas tirer au clair !
Faillite morale, hystérie, désir cultivé d’être admiré par la consommation en autant de braillements dont on se demandent quels droits de l’homme pourraient naître un jour, à part le droit laissé aux hommes de ramper comme des chiens, ce qui n’est pas que lâcheté, mais est surtout culture politique, saignée des peuples, conditionnement.
L’action de censure se surajoute à cet ensemble, et Internet permet de se rendre compte que la chasse aux cibistes puis aux radios libres que l’on a pu constater en son temps, est un phénomène d’actualité : les pouvoirs n’aiment pas que les gens se parlent, ce qui est un droit de l’homme à l’homme.
Il se trouvera toujours quelques monstrueux psychopathes pour maquiller avantageusement ou désavantageusement certaines réalités (de l’histoire), pour ménager les uns ou les autres, nier ou avantager les horreurs blessantes faites à toute l’humanité, au passé, au présent, au futur.
Droits de l’homme, souffrir et faire souffrir, politiciens, comment découvrir la vérité dans les abîmes, au milieu de manipulations de gens qui pensent devenir meilleurs en étant toujours plus cruels mais aussi toujours plus possédés par la modernité ?
A se demander si les hordes de dieux et de démons primitifs qui habitaient toutes choses extérieures aux premiers hommes, ne sont pas descendus jusqu’à nous, nous, qui sommes animés par le progrès, la possession de biens de consommation pour mettre en valeur l’Ego, les Droits de l’Ego, pas les Droits de l’Homme.
Ce texte est publié dans le cadre du Centre de Recherche Les OGRES et est pour cette raison également disponible sur Les OGRES Afrique et Les OGRES Politiques